L’index d’égalité femmes/hommes permet de mesurer les avancées en matière d’égalité femmes-hommes au travers de cinq indicateurs objectifs et, le cas échéant, de mettre en place des actions correctives.
Les différents indicateurs mesurent les écarts de rémunération, d’augmentations individuelles et dans les promotions entre les femmes et les hommes, les augmentations au retour de congé de maternité, ainsi que le nombre de salariés du sexe sous-représenté parmi les 10 plus hautes rémunérations de l’association.
Au titre de l’année 2021, la note globale de l’association est non calculable car l’effectif féminin représente 98% de l’effectif total.
A la SPE, lors des recrutements, nous analysons toutes les candidatures qui nous permettraient d’augmenter le nombre d’emplois masculins.
Toutefois, les candidats sont pratiquement inexistants.
A ce jour, les emplois à la cuisine et auprès des enfants sont occupés par des femmes et des hommes ; l’égalité de rémunération est respectée.
En France, les hommes sont très peu nombreux dans les métiers de la petite enfance, qu’il s’agisse d’emploi en institution ou à domicile (autour de 1 %). Seule la profession des éducateurs de jeunes enfants présente un taux un peu supérieur, autour de 3 %. Ce déséquilibre n’empêche pas que les hommes y occupent proportionnellement plus d’emplois de direction. De ce fait, la faible mixité restreint les potentialités de recrutement masculin dans ce secteur.